pologne en 1920
Elle demeurera une des monnaies les plus stables d'Europe centrale. Débuter une recherche généalogique [modifier | modifier le wikicode]. En une journée, l'avance soviétique vers Varsovie et Modlin est arrêtée et se transforme bientôt en retraite. L'armée polonaise utilise des armes provenant de cinq pays différents, et des fusils issus de six pays, chacun utilisant un type de munition différent. La 3e armée polonaise vainc facilement l'Armée rouge en Ukraine lors de combats frontaliers. Elles sont menées par d'anciens soldats des légions polonaises, des membres de l'Organisation militaire polonaise, des vétérans des guerres de 1919-1921 et ses collaborateurs politiques[5]. La principale raison de la guerre imminente avec la Pologne est de lier la révolution bolchévique à la révolution allemande. La façade maritime était de 140 km. Au nord-ouest : la mer Baltique. Lwów assiégée, cinq armées soviétiques approchent de Varsovie. Mais Koltchak est battu par les troupes de Sergeï Kamenev, l'offensive de Ioudenitch est arrêtée fin octobre, à 100 km de Petrograd et Denikine perd Orel et Voronej. Le reste de la 1re armée de cavalerie se retire vers Volodymyr-Volynsky le 6 septembre et est encore repoussé peu de temps après, à la bataille de Hrubieszów. Ses forces se retirent en bon ordre, sans trop de pertes, mais ne sont pas capables de renforcer le front Nord et les défenses de la rivière Avouta, où s'apprête à se jouer une bataille décisive. Le gouvernement polonais décide une réforme agraire pour apaiser les paysans, qui représentent plus de 75 % de la population. Dans le même temps, la santé du maréchal commence à décliner. Après une guerre contre la Russie soviétique en 1920, la Pologne récupéra ses territoires historiques de Biélorussie et d’Ukraine. À Varsovie, Józef Piłsudski devient Chef du tout nouvel État polonais et commandant en chef de l’armée. Frédéric Guelton : « En 1920, l’essentiel du soutien apporté à la Pologne en guerre est français. La Première Guerre mondiale, suivie de la guerre russo-polonaise de 1920, laisse le pays dévasté. Ce dernier, après que son gouvernement a été vaincu par les Bolcheviks, obtient l'asile politique en Pologne et prend la tête d'une nouvelle armée populaire ukrainienne. Dans le nord du pays, les Soviétiques traversent la Vistule, en pure perte car il n'y a personne en face d'eux, alors qu'au sud de Varsovie, où le sort de la guerre est sur le point de se décider, Toukhatchevski n'a laissé que quelques forces pour maintenir ses communications. Généalogie en Pologne, rechercher ses ancêtres polonais Histoire et partages. Ce sont eux qui constituent le gouvernement des colonels (en) qui perdure jusqu'à la veille de la seconde guerre mondiale. En janvier 1920, l'Armée rouge concentre 700 000 hommes près de la Bérézina et en Biélorussie. Dès février, des tensions éclatent avec le voisin soviétique pour le contrôle de Wilno. Les forces soviétiques connaissent plusieurs succès face aux Blancs, battant Dénikine et signant des traités de paix avec la Lettonie et l'Estonie (traité de Tartu). En 1919, les deux camps tentent à plusieurs reprises de négocier la paix. Pour autant, la Pologne ne capitulera pas et le gouvernement polonais en exil et l'État clandestin de Pologne poursuivent le combat durant toute la guerre. En septembre 1919, l'armée polonaise ne dispose que de 540 000 hommes sous les armes, dont 230 000 sur le front soviétique. En effet, malgré l'alliance avec les Soviétiques (Traité de paix lituano-soviétique de 1920) et la déclaration de guerre contre la Pologne, la Lituanie passa très près d'être envahie par les Soviétiques au cours de l'été 1920 et d'être convertie de force en république socialiste. Lors de la guerre polono-bolchevique en 1920 et de la bataille de Varsovie, le commandement polonais était conseillé par les officiers de la Mission militaire française. Le 17 juillet, les bolchéviques refusent et font une contre-proposition pour négocier un traité de paix directement avec la Pologne. Lénine voit la Pologne comme un pont que l'Armée rouge doit franchir afin de lier les deux révolutions et aider d'autres mouvements communistes en Europe de l'Ouest. Les forces soviétiques et polonaises sont également en conflit avec l'Ukraine et les troubles s’amplifient dans les pays baltes (guerre d'indépendance de l'Estonie, guerre d'indépendance de la Lettonie, guerre d'indépendance de la Lituanie). La 1re armée polonaise essuie une défaite, et doit battre en retraite, poursuivie par la 15e armée soviétique, qui reprend les territoires entre Dzwina et Bérézina. Le 20 février 1922, la région de Vilnius et la Sejm décident par référendum de l'incorporation à la Pologne. Plus à l’est : l’ancien Empire russe ayant donné, du nord au sud, Lettonie, Lituanie et Pologne. En 1918, avec la fin de la Première Guerre mondiale, la carte de l'Europe centrale et de l'Europe de l'Est change radicalement[9]. Karpus, Zbigniew, Alexandrowicz Stanisław. Le but poursuivi est d'atteindre l'Europe centrale, d'installer des gouvernements soviétiques dans les pays nouvellement indépendants de la région et de soutenir les révolutions communistes en Allemagne et Autriche-Hongrie. La contre-offensive de l'Armée rouge permet la libération de Kiev le 12 Juin, infligeant une série de défaites à l'armée d'invasion le ramener sur rivière Bug. Longue vie à l'Internationale du Travail ! La mission française travaille en parallèle avec la mission militaire britannique pour la Pologne, dirigée par le lieutenant général Adrian Carton de Wiart. Une troisième partie de son territoire est annexée par l'Union soviétique jusqu'à l'été 1941, date de l'attaque allemande contre son allié de 1939. Cette relative prospérité est due aux plans de développement économique qui ont supervisé la construction des trois éléments clés de l'infrastructure. La Hongrie a également envoyé un corps de 30 000 cavaliers, car l'aide de la France était ralentie par les ouvriers communistes français bloquant les transports ferroviaires et les ports : le hongrois Pál Teleki organise alors un convoi massif de munitions, d'armes et d'engins militaires pour secourir la Pologne, mais, le gouvernement tchécoslovaque ayant refusé le passage sur son territoire, l'envoi se fera à travers la Roumanie et le contingent hongrois arrivera tout de même en Pologne, peu avant que Teleki ne soit contraint à la démission[20]. Les Soviétiques demandent alors la paix. ». Exécutant précisément le plan, les forces polonaises progressent du sud du pays vers le nord, profitant de l'écart considérable entre les fronts ennemis et de la faiblesse du groupe Mozyrska censé maintenir la liaison entre les différentes armées soviétiques. « Amiral d'un pays sans accès à la mer, régent d'un royaume sans roi » , Horthy jouit de pouvoirs quasi-dictatoriaux à partir de 1931. Ce ressentiment, largement exacerbé par la propagande soviétique, explique peut-être les massacres des Polonais en Volhynie par l'Armée insurrectionnelle ukrainienne (l'UPA) pendant la Seconde Guerre mondiale. Sur la frontière allemande, les trois insurrections de Silésie conduisent à un plébiscite le 20 mars 1921 débouchant sur de nouveaux changements territoriaux en faveur de la Pologne. Mais ces menaces demeurent ignorées. Les forces de Gaïk Bjichkyan soutiennent les forces lituaniennes, lorsqu'elles reprennent Vilnius le 14 juillet, obligeant les Polonais à battre à nouveau en retraite. La Deuxième République est souvent associée à une période d'adversité, de troubles et de victoires. Bien que l'armée de Boudienny ait réussi à éviter l'encerclement total, elle a subi de lourdes pertes et son moral est au plus bas. Début mars 1919, les troupes polonaises commencent une offensive et traversent le fleuve Niémen, capturent Pinsk et atteignent l'orée de Lida. D'autres noms comme « guerre russo-polonaise de 1919-1921 »[3] (pour la distinguer des précédents conflits) et « guerre bolchevique »[4] (en polonais : wojna bolszewicka) ainsi que « guerre de 1920 »[5] (en polonais : wojna roku 1920) sont souvent utilisés dans des sources polonaises, alors que les historiens soviétiques l'appellent plutôt « guerre contre la Pologne blanche », ou bien la considèrent tout simplement comme faisant partie de la « guerre contre l'interposition étrangère » ou de la guerre civile russe. Pour briser la ligne polonaise, l'Armée rouge forme le front du Nord-Ouest, dirigé par le jeune général Mikhaïl Toukhatchevski. Les combats se déroulent pour plusieurs régions périphériques à l'est et au sud[10] : frontière lituanienne (lisières au-delà du Boug), Galicie orientale (Lwów) et duché de Cieszyn pendant que la conférence discute encore. Elle le sera au cours de 1919 grâce, en particulier, à l'action d'Ignacy Paderewski à Paris. Toukhatchevski lance son offensive le 4 juillet, sur l'axe Smolensk-Brest-Litovsk, franchissant l'Avouta et la Bérézina. Cependant, les armées polonaises sont repoussées et les Russes mènent une contre-offensive qui les conduit aux portes de Varsovie. Le premier niveau correspond aux gminy (communes : villes et villages). Se préparant à une offensive vers Jlobine (en polonais : Żłobin), l'armée polonaise parvient à les repousser, mais est incapable de suivre ses plans initiaux. La défaite de Boudienny et de Toukhatchevski, « c'est le moment où tous les Allemands, même les pires réactionnaires et monarchistes, vont reconnaître les Bolchéviques comme leur salut », « Nous devons diriger toute notre attention au renforcement des Révolutions bolchéviques occidentales », « Voilà comment mettre fin aux idées des maîtres. Malheureusement, toutes ces évolutions seront interrompues et largement anéanties par l'invasion de l'Allemagne et de l'Union-Soviétique dès le début de la Seconde Guerre mondiale. Le front polonais devient le plus important théâtre militaire et la majorité des forces et des ressources soviétiques y sont consacrées. Au recensement de 1931, la population comptait 68,9 % de Polonais, 13,9 % d'Ukrainiens, 8,6 % de Juifs, 3,1 % de Biélorusses, 2,3 % d'Allemands et 2,8 % d'autres minorités comme des Lituaniens, des Tchèques et des Arméniens. La guerre polono-ukrainienne s’achève en juillet 1919, et à partir du mois de septembre, les fidèles de Petlioura, qu'ils soient polonais ou ukrainiens, combattent ensemble. Les Britanniques menacent à leur tour de couper les relations commerciales si les Soviétiques poursuivent leurs offensives contre la Pologne. Sur le cadavre de la Pologne blanche se trouve la route à la révolution mondiale. La résistance polonaise s'appuie sur la ligne des « tranchées allemandes », une ligne fortifiée datant de la Première Guerre mondiale, susceptible de bloquer l'offensive soviétique. Thomas Grant Fraser, Seamus Dunn, Otto von Habsburg, « Pilsudski rêvait d'unir toutes les nations situées entre l'Allemagne et la Russie dans un énorme fédération. Vive la révolution russe ! Piłsudski a considéré ce traité comme une lâcheté et présentera ses excuses aux Ukrainiens car il violait les termes de l'alliance militaire entre la Pologne et l'Ukraine qui interdisait une paix séparée.
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